Banderole

La prochaine publication du numéro double de Savoir 143-144-145-146 paraîtra fin Février 2024

26/06/2016

Journée Suzannet à Chavagnes en Paillers

           Nous vous proposons l'album souvenir de la journée Suzannet du 25 juin dernier. Une belle participation, une émotion très forte. 
      Deux plaques commémoratives, offertes par la Vendée Militaire, ont été inaugurées ce jour-là : l'une à la Haute-Rivière en Aigrefeuille, l'autre à la Chardière en Chavagnes en Paillers. 
      Merci aux nombreux participants d'avoir répondu à l'appel de la Vendée Militaire. 
      En particulier à Pierre Rabjeau, Mme de La Harrie, au vicomte de Valrant, aux familles Millescant et Buttin, etc. 
     Philippe de Villiers, Nicolas de Villiers, M. Auvinet, s'étaient excusés.


23/06/2016

5 plans pour nous retrouver le 25 juin 2016

Au cours de cette journée consacrée au général vendéen 
Constant-Jean-Baptiste-Pierre, comte de Suzannet, 
voici 5 cartes vous indiquant les lieux et les heures des rendez-vous.

10h Maisdon et 10h45 La haute rivière

15h La Getière à St Georges de Montaigu
16h chateau de la Chardière à Chavagnes en Paillers






16/06/2016

LES CARTES POSTALES ANCIENNES ET LES GUERRES DE VENDÉE VII  

    Nous terminons aujourd’hui une série d’articles publiés régulièrement sur le blog de « Vendée Militaire » et la revue « Savoir » depuis le mois de septembre 2015.
 Il s’agit aujourd’hui de la suite du septième point, mais en réalité du onzième article puisque les points IV, VI et VII ont été respectivement doublés ou triplés. L’objectif poursuivi par cette série d’articles était de montrer de quelle manière les cartes postales vendéennes, datant du tout début du XXème siècle, pouvaient aider à écrire et illustrer l’histoire locale et en particulier celle des Guerres de Vendée.
La finalité réelle était aussi de vous faire prendre conscience que ces petits documents appartiennent désormais au patrimoine historique ; et donc de vous convaincre de les collectionner pour participer à sa préservation.
 A ce sujet, l’augmentation constante et rapide des tarifs des ventes par correspondance est une des meilleures preuves de l’intérêt grandissant qu’ils suscitent. Nous préparons d’ailleurs un ouvrage qui se voudrait assez exhaustif sur « Les cartes postales et l’histoire en Vendée ».
7 - Les cartes postales anciennes ont permis de faire connaître l’iconographie des Guerres de Vendée  (suite) : 
Les cartes postales du début du XXème siècle ont été les premières à permettre de faire connaître largement toutes les formes d’illustrations liées aux guerres de Vendée : les tableaux, les différentes sortes de gravures, les images pieuses de livres de messe ainsi que les vitraux des églises et des chapelles, etc. Elles ont ensuite été relayées dans ce rôle par les livres de plus en plus illustrés, les magazines et les revues des associations de la Mémoire Vendéenne. Nous avons évoqué la fois précédente les portraits des Généraux Vendéens, venons en aujourd’hui aux vitraux des églises.
Les Vitraux :

10/06/2016

Dominique Lambert de La Douasnerie à Radio Courtoisie



Dans l'émission de l'abbé Lorans, Libre Journal des Traditions, du 9 juin 2016, Dominique Lambert de La Douasnerie a évoqué l'association Vendée Militaire, et bien d'autres sujets, pendant une heure après l'intervention de Vincent Lecornier.
A écouter et à faire écouter, en cliquant sur le lien suivant http://www.radiocourtoisie.fr

08/06/2016

Ici La Vendée : Les Vendéens parlent aux Vendéens

 Dominique Lambert de La Douasnerie, président-fondateur de l'association Vendée Militaire, sera l'invité, le jeudi 9 juin, de Radio Courtoisie.
   Le Président interviendra entre 18h00 et 20h00, plus précisément entre 19h00 et 19h30. M. Delon, président des Amis de la Varende participera également à cette émission.

Tous à l'écoute le 9 juin 2016.
Merci à Brigitte Meignan et Jean-Louis Caffarel qui ont battu le rappel dans leur région.

Vendée Militaire

06/06/2016

« UN CLIMAT DELETERE »

« UN CLIMAT DELETERE »


          Dans un article précédent Henry Renoul déplore le rôle négatif des « petits blogueurs aigris en difficultés avec leurs consciences et vivant mal leurs reniements ». Il ne sait peut être pas que les «petits blogueurs» en question ne limitent pas leur attitude pernicieuse au seul dossier ouvert pour la recherche d’un digne lieu de sépulture aux ossements trouvés au Mans. 

          Dans le temps libre qui leur est laissé par leur intrusion abusive dans ce dossier, ils s’agitent continuellement sur les réseaux sociaux. Ils ont de cette manière dans un passé récent, fait unilatéralement des attaques personnelles, des manœuvres insidieuses, des calomnies et participé avec acharnement à un harcèlement. Ces méfaits, primitivement réservés à une seule personne, se sont ensuite généralisés à un entourage de plus en plus large. Actuellement, ils en sont rendus à reprocher à quelqu’un, avec véhémence, des erreurs dans un article que celui-ci n’a pas écrit. Nous serions tentés de citer à ce propos Michel Audiard qui disait, avec d’autres mots bien à lui : « Les malveillants cela ose tout, c’est même à cela qu’on les reconnaît. »

          En outre, actuellement la parution récente, sur le plan national d’un numéro de la revue « Le Figaro Histoire » (N°26 de Juin et Juillet 2015) consacré à « l’Epopée des Géants » connaît déjà un réel succès ainsi qu’un grand retentissement. Elle va marquer un tournant décisif et irréversible dans la façon de considérer et d’écrire l’Histoire des Guerres de Vendée. Cette importante réussite, qui n’est qu’une étape, est principalement due aux efforts constants de notre ami l’Historien Reynald Secher. Eh bien, ce dernier a évidemment, lui aussi, eu maintes fois « l’honneur » de subir les attaques dérisoires et prétentieuses des mêmes personnes nuisibles. Il ne s’est naturellement jamais commis à leur répondre. 

          Que des comportements de cette nature puissent s’exercer dans le domaine des Guerres de Vendée nous avait primitivement laissé incrédule. Car, dans ce domaine, le respect des valeurs fondamentales qui animaient nos ancêtres est la première des qualités indispensables pour s’y investir et y trouver une place légitime. En effet, faire des efforts pour protéger la Mémoire Vendéenne c’est, par essence, être solidaire des victimes et de leurs épreuves et évidemment ne pas assimiler son propre comportement à celui des bourreaux. Sans cela on ne sera jamais autre chose qu’un intrus, un grain d’ivraie, dans ce domaine habitué à la respectabilité. 

            Bien entendu ces comportements insolites commencent peu à peu à porter préjudice à la cause Vendéenne, il est à craindre que leurs excès ne finissent par l’éclabousser dans un avenir proche. 
          Ils s’imaginent certainement être indispensables à la Mémoire Vendéenne. Pourtant le plus grand service qu’ils pourraient lui rendre ce serait de s’effacer totalement. Elle s’en porterait forcément mieux puisqu’elle échapperait ainsi au climat délétère qui est notoirement généré par eux. 
          Le moment viendra où une célèbre association Vendéenne finira par se poser la même question que l’infortunée Reine Marie Antoinette «  Nous voyons bien que Monsieur de Mirabeau essaye de nous sauver, mais qui nous sauvera de Monsieur de Mirabeau » !

                                                                                       N LF

04/06/2016

L’excès est insignifiant, sauf quand il s’agit du respect dû aux morts : il devient alors sacrilège

        On pouvait légitimement attendre des différences de propositions et d’appréciations dans la recherche d’un lieu pour assurer une digne sépulture aux ossements des Vendéens du Mans, différences de formes auxquelles les fidèles de l’épopée vendéenne nous avaient habituées depuis deux siècles.
     Mais on ne s’attendait pas à un déferlement de menteries, de contre-vérités, d’analyses historiques tronquées ou arrangées et même parfois de calomnies et d’attaques personnelles qui déshonorent leurs auteurs.
Il y a eu bien sûr celles émanant de petits blogueurs aigris, en difficultés avec leur conscience et vivant mal leurs reniements.
    Plus graves, celles qui viennent de personnalités émérites de la mémoire vendéenne, se compromettant avec le pouvoir en place « auquel il ne faut pas déplaire » et séparant les Vendéens d’aujourd’hui entre « les indulgents et ceux qui n’admettent pas les massacres ».
   Difficile de choisir son camp ! Affligeant enfin, les manipulations provenant d’historien diplômé dont la notoriété s’est constituée uniquement sur la Vendée Militaire, son épopée et son martyre.

03/06/2016

L’épopée de Géants : l’excellent dossier du Figaro Histoire

Michel De Jaeghere ouvre les cinquante pages qui constituent cette irremplaçable contribution à l’établissement de la vérité par le rappel, fort opportun, de la présence et des propos d’Alexandre Soljenitsyne, le 25 septembre 1993 lors de l’inauguration du Mémorial de la Vendée aux Lucs-sur-Boulogne, à l’invitation de Philippe de Villiers. Le grand auteur russe, dont l’enfance avait été bercée la l’histoire de la Vendée y avait fustigé « les flots de sangs répandus par des discoureurs qui prétendaient régénérer le genre humain ». Il avait comparé le soulèvement vendéen à celui de Tambov en Russie. Complétant son discours de Harvard où il avait déploré « le déclin du courage des élites occidentales », Soljénitsyne avait fait partager aux dizaines de milliers de Vendéens recueillis qui assistaient à ce moment historique la vivante leçon de la Vendée : « l’un des lieux de mémoire dont on aura jamais épuisé la méditation ». On est loin d’une réconciliation nationale factice et inutile !
Les plus grands historiens participent ensuite à une meilleure connaissance de l’Epopée des Géants, tant dans ses hommes, ses faits précis et historiques que dans les profondes motivations du soulèvement et la vérité de la volonté génocidaire des révolutionnaires. Pêle-mêle citons Philippe Pichot-Bravard qui retrace le contexte à partir de 1789 et les mesures antireligieuses, Reynald Sécher qui répond avec talent et précision à une dizaine de questions pertinentes, Clément Mesdon sur les noyades de Nantes, Philippe Maxence entre les Chouans et les Vendéens et Geoffroy Caillet au pays de la Mémoire.
Une très belle galerie de portraits des généraux vendéens et républicains ainsi qu’une abondante bibliographie complètent le dossier. Philippe de Villiers contribue à cet ensemble avec « Le dernier Panache » du Chevalier Charette dont il admire la dimension « d’homme d’honneur » et qu’il a remarquablement mis en scène dans le dernier spectacle du Puy du Fou, Puy du Fou maintes fois cité et illustré dans ce dossier qui rend hommage au maintien et au développement de la mémoire vendéenne dont il est en grande partie la source.
A lire et à conserver absolument !
Henry Renoul