12/12/2022

Aurait-on retrouvé les ossements du général Charette ?

 Presse Océan du 12 décembre 2022

Aurait-on retrouvé les ossements

du chef vendéen Charette à Nantes ?

Guerres de Vendée. La découverte récente d’ossements humains pouvant dater de la Révolution, avenue du Lavoir, à Nantes, relance la question de l’inhumation du chef vendéen Charette, exécuté place Viarme.

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Dessin de Charette, le bras en écharpe, juste avant son exécution. | IMAGE SAHNLVoir en plein écran

Presse OcéanÉric Cabanas avec Marianne DardardPublié le 11/12/2022 à 18h56

Nouvel épisode cet automne autour des Guerres de Vendée. Dans les années 1980 à Nantes, la réalisation des fondations d’un immeuble conduit à la mise au jour d’ossements humains rue Costes-et-Le Brix. Ainsi un coup de pelleteuse rappelle à notre mémoire un triste épisode de l’histoire de Nantes pendant la Révolution.

Le long de ce qui était à l’époque la route de Rennes, faute de places ailleurs pour inhumer les nombreux cadavres, un cimetière provisoire ​est créé à cet endroit. On peut conclure que ce cimetière a été utilisé de janvier 1794 à 1801-1802, écrit Léonide Leblouck dans le Bulletin de la Société archéologique et historique de Nantes en 1982. Un rapport de la commission de salubrité du 4 janvier 1794 fait état de douze charniers sur le site rassemblant un total de 8 000 cadavres. À l’occasion de la découverte d’ossements rue du Lavoir, l’énigme du destin de la dépouille de François-Athanase Charette, né à Couffé en 1763 et fusillé place Viarme le 29 mars 1796, est relancée.

L’un des grands mystères de la période révolutionnaire à Nantes

La dernière découverte en date cet automne est celle du squelette exhumé lors de travaux avenue du Lavoir à Nantes. Mais si le corps date d’un temps certain et a droit à une sépulture digne, encore faudrait-il en savoir davantage », souligne l’historien Jean-François Caraës, qui apporte un élément de réponse : ​« Il suffit de lire l’article publié par Léonide Leblouck au sujet du’’cimetière supplémentaire’’ de la route de Rennes. On y découvre qu’à l’emplacement et à proximité de l’avenue du Lavoir se trouvait un lieu de sépulture ouvert par la municipalité en 1794, pour y enterrer les corps de milliers de Vendéens que les cimetières nantais saturés ne pouvaient pas recevoir. Ce cimetière a « fonctionné » jusqu’au tout début du XIXe siècle. Et c’est aussi en ce lieu que se trouve le corps du général Charette que personne n’a ensuite cherché à retrouver. » Pour Jean-François Caraës,il faudrait donc examiner avec plus de soin les ossements découverts récemment, voir si les os du bras gauche ne portent pas de trace de fracture ».Car Charette avait été blessé lors de son arrestation. Les portraits dressés avant son exécution le montrent avec le bras en écharpe ? « On pourrait vérifier s’il n’existe pas de traces de brisure sur des côtes ou des vertèbres, témoignages d’une fusillade… » poursuit Jean-François Caraës. 

Et si l’on avait retrouvé Charette ? » s’interroge-t-il, relançant l’un des mystères de la période révolutionnaire. Léonie Leblouck rappelle que lorsque le général vendéen Charette est exécuté le 29 mars 1796, son corps est inhumé dans le charnier de la route de Rennes, un moulage de son visage étant réalisé le lendemain soir par le plâtrier Cazanne, qui en réalise un deuxième le 2 avril en présence de trois commissaires de police. En 1998, une plaque commémorative est installée rue du Lavoir, là même où ont été trouvés les ossements, le 2 décembre 2022. 



Des ossements humains retrouvés le 2 décembre 2022 à proximité

Le 2 décembre 2022, des ossements humains, dont un crâne, étaient retrouvés sur un chantier dans un immeuble de l’avenue du Lavoir, quartier des Hauts-Pavés à Nantes. Un maçon était tombé dessus, lors de travaux de réfection des caves. La scène avait été figée par la police. Examiné par un anthropologue, le squelette, datant d’avant les fondations de cet immeuble du XIXe siècle, serait là depuis des centaines d’années. « Il aura droit à sa sépulture », fait savoir le parquet. Par le passé, un squelette avait, semble-t-il, été trouvé dans le bâtiment voisin dans des circonstances similaires. Rendant hommage aux morts durant les Guerres de Vendée (1793-1796), une plaque de l’association « Souvenir vendéen » est visible au fond de l’avenue du Lavoir. « Près d’ici dans les carrières surnommées la fosse du chemin de Rennes, où furent enfouis les restes des milliers de victimes de la Révolution, a été déposé, au soir de son exécution, le 29 mars 1796, le corps du Général Charette », y lit-on


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Le général vendéen avait été fusillé place Viarme

Il était tombé sous les balles dans l’après-midi du 29 mars 1796 (ci-dessus la croix de Charette, place Viarme à Nantes). | ARCHIVES

Mémoire. Dans l’après-midi du 29 mars 1796, le général Charette, chef vendéen, tombe sous les balles du peloton d’exécution positionné place des Agriculteurs (aujourd’hui place Viarme). Quatre pavés de verre indiquent l’endroit où il est mort et un monument installé à l’ange de la place et de la rue Félibien rappelle l’événement. Charette avait été capturé six jours avant dans le bois de la Chabotterie. Emmené d’abord à Angers, il est conduit à Nantes par la Loire à bord d’une canonnière. Il est enfermé dans la prison du Bouffay avant d’être conduit à pied jusqu’à la place Viarme où l’attendent 5 000 hommes de troupes. Un peloton de 18 hommes est constitué. Charette demande à l’officier de ne pas faire feu avant qu’il n’en fît lui-même le signal. Il retire le bras gauche de son écharpe. La salve le fauche mortellement


Vaincre ou mourir :

après la découverte des ossements, Charette au cinéma le 25 janvier

 La Région a participé à hauteur de 200 000 € à la production du film « Vaincre ou mourir », sorti le 8 décembre en Pays de la Loire où il a été tourné, inspiré du spectacle du Puy-du-Fou sur Hervé de Charette.

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L’affiche du film « Vaincre ou mourir » consacré au général vendéen Charette | PUY DU FOU FILMSVoir en plein écran

Presse OcéanE.C.Publié le 12/12/2022 à 08h30

« Vaincre ou mourir », le film soutenu par la Région et tourné en Pays de la Loire a été présenté en avant-première nationale le jeudi 8 décembre dans 41 cinémas des Pays de la Loire avant une sortie nationale le 25 janvier 2023. Il est inspiré directement du spectacle Le « Dernier Panache » présenté au parc du Puy-du-Fou.

Ce long-métrage de Vincent Mottez et Paul Mignot est la première production originale de Puy du Fou Films, qui retrace l’histoire de François Athanase de Charrette.
Une sortie qui coïncide avec la découverte toute récente cet automne d’ossements pouvant dater de la Révolution, avenue du Lavoir, à Nantes. Découverte qui relance la question de l’inhumation du chef vendéen Charette, exécuté place Viarme.

+++ Aurait-on retrouvé les ossements du chef vendéen Charette à Nantes ?

Soutenu par la région

Le film a reçu une aide à la production de 200 000 € de la part de la Région des Pays de la Loire, en partenariat avec le CNC. Tourné quasiment en intégralité au Puy du Fou, Vaincre ou mourir a été conçu par son scénariste et coréalisateur Vincent Mottez comme une véritable fresque épique nous plongeant dans l’intimité de Charette. Une histoire écrite avec l’appui d’historiens comme Jean-Clément Martin, Nicolas Delahaye ou Anne Rolland-Boulestreau, experts de cette époque trouble de l’Histoire de France. La sortie nationale de ce long-métrage de 1 h 50 est prévue le 25 janvier 2023.

Au casting on retrouve Hugo Becker, Jean-Hugues Anglade, Rod Paradot (Molière 2016 du meilleur espoir masculin), Grégory Fitoussi, Gilles Cohen, Francis Renaud, Constance Gay…

Le film se déroule en 1793 : Voilà̀ trois ans que Charette, ancien officier de la Marine Royale, s’est retiré chez lui en Vendée. Dans le pays, la colère des paysans gronde : ils font appel au jeune retraité pour prendre le commandement de la rébellion. En quelques mois, le marin désœuvré devient un chef charismatique et un fin stratège, entraînant à sa suite paysans, déserteurs, femmes, vieillards et enfants, dont il fait une armée redoutable car insaisissable. Le combat pour la liberté ne fait que commencer…, indique la production.

Le tournage a impliqué près de 230 chevaux, un millier de cascadeurs, cavaliers, danseurs et escrimeurs et conduit à l’utilisation de 60 000 costumes.

Teaser vidéo et informations pratiques sur les séances avant-premières : https://www.vaincreoumourir.fr/


02/11/2022

[AVANT-PREMIÈRES] VAINCRE OU MOURIR

VAINCRE OU MOURIR

AVANT-PREMIÈRES PARTOUT EN FRANCE LE 08/12/2022

SYNOPSIS

1793. Voilà trois ans que Charette, ancien officier de la Marine Royale, s’est retiré́ chez lui en Vendée. Dans le pays, la colère des paysans gronde : ils font appel au jeune retraité pour prendre le commandement de la rébellion. En quelques mois, le marin désœuvré devient un chef charismatique et un fin stratège, entraînant à sa suite paysans, déserteurs, femmes, vieillards et enfants, dont il fait une armée redoutable car insaisissable. Le combat pour la liberté ne fait que commencer...

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La valse de l'adieu, le dernier livre de Philippe de Villiers

 

L'un des maîtres du roman historique nous offre une plongée spectaculaire dans la France de l'après-Révolution et de l'Empire.


Tout commence le 8 août 1808. 
L'Empereur s'arrête aux Quatre-Chemins de L'Oie. Il passe en revue les Vendéens. À chacun, il pose la question : 
– Que faisiez-vous pendant la Grand'Guerre ? 
– Sire, j'étais neutre, lui répond le maire Jean Rogronille, qui est aussi un luthier réputé. 
L'Empereur le foudroie : 
– Vous n'étiez qu'un jean-foutre ! 
Alors le destin de celui qu'on n'appelle plus désormais que " le Jean-Foutre " bascule dans l'errance. 
Contraint de s'engager dans la Grande Armée, il participe à la retraite de Russie. Sur le chemin de son retour en France, il fait une incroyable rencontre, celle du jeune Frédéric Chopin. Leur destin sera lié, pour le meilleur et pour le pire.  Alors qu'il est convoqué par le roi, Jean Rogronille pense sa dernière heure arrivée quand, à sa grande surprise, il va être sauvé... par la magie d'une valse. 


Dans ce récit composé de personnage si attachants, Philippe de Villiers, une fois de plus, nous entraîne dans un récit haletant où le souffle lyrique traverse la grande et la petite histoire.


Derrière l'aventure artistique du Puy du Fou qui a valu à Philippe de Villiers de recevoir le Hall of Frame à Los Angeles en 2017, il y a un essayiste et romancier historique dont l'écriture est reconnue. Sa "circonscription électorale" n'a cessé de s'élargir. Il a publié une trentaine d'ouvrages. Ses romans et essais sont tous des best-sellers.


Format du livre 150 x 220, 520 pages, 22,90 euros aux éditions Plon, en librairie depuis le 6 octobre


Le Puy du Faux décrypté par deux historiennes et deux historiens

 







16/09/2022

Le génocide vendéen

 Le Point, 10/09/2022

Thierry Lentz – Reconnaître les massacres de Vendée

CHRONIQUE. Le succès indémodable du Puy du Fou maintient la flamme vendéenne. Il serait temps que la République répare le traumatisme du « populicide »...

Mémorial de la Vendée commémorant le massacre des Lucs (février-mars 1794).© PHILIPPE ROY / Philippe Roy / Aurimages via AFP
Par Thierry Lentz
Publié le 10/09/2022 à 10h00

Une fois encore, cette année, nous aurons été plus de deux millions à passer une

belle journée au Puy du Fou. Pour ne pas y être allé depuis longtemps, nous avons pu constater que, malgré la croissance et la nécessaire professionnalisation, l'ambiance n'a pas changé et la qualité de la fête reste au rendez-vous. Qu'il est beau de voir ainsi des familles, souvent issues de nos terroirs, venir passer ici un bon moment, pour voir des spectacles vivants (il n'y a aucun manège au Puy du Fou) et, peut-être, apprendre un peu de l'histoire si particulière de ce département devenu petite nation dans la grande, ce qu'exprime la devise vendéenne : Utrique Fidelis, fidèle à l'une et à l'autre.

On dira ce que l'on veut, mais, en 1977, Philippe de Villiers a eu du flair. Et comme rien de grand ne s'accomplit sans passion, il y ajouta une énergie, un bon sens et une conviction qui ne lui ont pas toujours été reconnus. C'est fait désormais, avec une avalanche de prix internationaux, dont plusieurs décernés par les Américains qui, en matière de parcs à thème, savent de quoi ils parlent. C'est encore plus vrai et tout aussi précieux avec l'émerveillement des grands et des petits.

Success story

Cette réussite culturelle a pour noyau un spectacle de bénévoles. Ils sont aujourd'hui 4 400, de 2 à 91 ans. Leur rôle n'a pas changé depuis près d'un demi-siècle : jouer une trentaine de fois par saison le « cinéscénie », immense spectacle son, lumière et émotion, sur vingt-trois hectares avec chaque fois plus de deux mille acteurs. De ce noyau est né le « Grand Parc » et ses spectacles ininterrompus qui font se frotter les yeux. Et du « Grand Parc » sont nées une école de cavalerie réputée, une

volerie parmi les meilleures du monde, une société de production de films (le premier sort le 8 décembre en avant-première) et désormais une « académie », établissement scolaire hors contrat qui accueille ses 42 premiers lycéens, après les maternelles, les primaires et les collégiens en plusieurs étapes. À la clé encore, un chiffre d'affaires de près de 80 millions, des milliers d'emplois, directs et indirects, des sous-traitants que l'on pressure le moins possible, des producteurs locaux valorisés, et on en passe. Cerise sur le gâteau, tout est possédé par l'association d'origine (présidée par Nicolas de Villiers) avec quatre principes jamais violés : pas de droits d'auteur, pas de dividendes, pas de limites artistiques et... pas un centime d'argent public.

Le Puy du Fou n'est que la face connue et populaire du « miracle vendéen » : des champions mondiaux (Benneteau, Fleury Michon, Sodebo, Cougnaud, Schenker France...), un chômage à 5,5 %, un système éducatif où le public et le privé font jeu égal sans se faire la guerre, une mentalité solidaire où la concurrence est toujours saine, etc.

Blessure mémorielle

Pour aller vite, cet état d'esprit et cette culture viennent des malheurs de la
Vendée pendant la Révolution française. Rappelons qu'ici, entre 1793 et 1794, la République a ordonné la « dépopulation », c'est-à-dire le massacre pur et simple des habitants, femmes, enfants et vieillards compris. Ce crime de masse fut appelé
« populicide » par Gracchus Babeuf. Et, de fait, dans cette affaire, la Convention, Barrère et Robespierre en tête, a du sang jusqu'aux genoux. Ils furent entre
160 000 et 200 000 à être envoyés 
ad patres, réunis par exemple aux Lucs dans une église à laquelle on mit le feu. Ce jour-là, il y eut 564 victimes, seulement 100 de moins qu'à Oradour-sur-Glane en 1944.

De ce malheur, dont un historien distingué de la Révolution a tout de même eu le culot d'écrire qu'il est « une fake news qui a réussi », les survivants ont tiré une force qui a traversé les décennies, faite de résilience, de pardon, de nouveau départ et de labeur. Car, soignés par la politique napoléonienne autant que par leur foi en Dieu et en eux-mêmes, les Vendéens ont ensuite servi la France avec ferveur et même dans la douleur pendant les deux guerres mondiales. En 1993, le grand Alexandre Soljenitsyne est venu leur rendre visite, lui qui refusait toutes les invitations. Il a allumé aux Lucs une flamme qui ne s'éteint pas.

Les massacres de Vendée ont été retirés de l'enseignement par la IIIRépublique. Il a fallu quelques téméraires historiens, menés par Pierre Chaunu, pour les sortir de l'ombre. On sait aujourd'hui ce qui s'est passé. On a le bilan et le nom des responsables. On a des listes de victimes. Mais jamais nos gouvernants n'ont fait le moindre geste pour reconnaître ne serait-ce que ce qui n'est pas discutable. Ancien ministre, Alain Decaux raconte dans ses Mémoires les pressions qu'il a subies pour ne pas rejoindre Soljenitsyne et de Villiers à la cérémonie des Lucs, lui, l'homme de gauche.

À un moment où les dirigeants de la France demandent pardon à qui mieux-mieux et à qui l'exige, à une époque où la moindre victime exige repentance quand ça n'est pas réparation des siècles après les faits, ne serait-il pas temps qu'une présence officielle vienne dire aux enfants de la République qu'ici elle a eu la main inutilement et cruellement lourde. Un tel geste ne ferait de mal à personne, et réparerait une blessure mémorielle qui n'empêche pas les Vendéens d'être fiers de leur devise.

15/09/2022

"Monsieur Henri" enfin réédité



 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Monsieur Henri - Henri de La Rochejaquelein

par le baron de LA TOUSCHE D’AVRIGNY

 

Cette biographie au style limpide, écrite d'une plume si agile, se lit comme un récit haletant. 

Surtout, c'est un récit incarné. L'auteur a vécu, pérégriné, séjourné dans toutes les contrées où il a suivi le jeune chef aux élégances inouïes et brandissant ce fameux drapeau aux brûlures glorieuses qui s'est frayé un chemin d'ornières dans nos campagnes d'insurrection. 

Le livre que vous allez découvrir n'est pas une hagiographie. Comme le baron de La Tousche le dit très bien, « les grandes figures n'ont pas besoin d'apologies, encore moins de plaidoiries mensongères. » La vérité suffit à leur gloire. (Extrait de la préface de Philippe de Villiers) 

Avant M. de La Tousche, Monsieur Henri ne s'était pas trouvé sans biographe mais nul ne devait aller aussi loin dans l'exploration de cet esprit et de cette âme.
Vous allez, Cher Lecteur, le rencontrer tel qu'il fut. (Jean-François Chiappe) 





Pour plus de détails sur ce livre, veuillez vous reporter à notre site internet : 

http://www.chire.fr/A-232193-monsieur-henri-henri-de-la-rochejaquelein.aspx



  • ISBN : 9782851903297
  • Titre : Monsieur Henri - Henri de La Rochejaquelein
  • Auteur : Baron de La Tousche d’Avrigny


  • Éditeur : CHIRÉ (Éditions de)
  • Nombre de pages : 384
  • Présentation : Broché
  • Prix : 26 €



L’auteur : Jean de La Tousche d’Avrigny est né à Saint-Même, en Bas-Poitou. Il s’est marié à Melle de Ternay, férue de son pays la Vendée. Jean de La Tousche d’Avrigny est le fils de Roger de La Tousche marié à Alix de Chevigné dont la mère était née Durfort. Or la mère de Victoire de Donissan, marquise de Lescure, puis de La Rochejaquelein procédait elle aussi de cette maison de Durfort. Les La Tousche ont habité à Saint-Aubin-de-Beaubigné puis Angers.

30/08/2022

Il y a 250 ans naissait Henri de La Rochejaquelein

Il y a exactement 250 ans, le 30 août 1772, naissait Henri de La Rochejaquelein. A l'initiative de notre ami et adhérent, Guillaume Tositti, quelques membres de la Vendée Miliaire, tous habitants de la région proche du drame du 28 janvier 1794, ont déposé à Nuaillé une gerbe à l'endroit où reposa Monsieur Henri. On sait que les restes de Monsieur Henri furent transférés à Saint-Aubin-de-Baubigné dans l'enfeu familiale. Merci à nos amis pour ce geste de fidélité vendéenne.



Jean-Paul Retailleau, madame de Rengervé, Michel Lefort et Gérard Marie Supiot.
Il manque sur la photo Guillaume Tositti, le photographe.
Cénotaphe d'Henri de La Rochejaquelein à Nuaillé.

Le bouquet de fleurs offert par nos amis.
Sur le bandeau on peut lire :
Henri de La Rochejaquelein
30 août 1772 - 30 août 2022









26/08/2022

Des nouvelles de Monseigneur le duc d'Anjou

EXTRAIT DE SOCIÉTÉ : Valeurs Actuelles, publié le 25 août 2022


Louis de Bourbon :

L’espérance au-delà des difficultés du temps


En ce 25 août, l'Église fait mémoire de Saint Louis. Cette fête nous invite à célébrer celui qui fut, pendant des siècles, le modèle des gouvernants ; mais elle nous amène également à réfléchir au sens même de l'action politique, rappelle Louis de Bourbon, duc d'Anjou.

Par Louis de Bourbon

Publié le 25 août 2022 à 12h


pastedGraphic.png00 Mis à jour le 24 août 2022 à 17h35


La période électorale que la France vient de vivre a, comme toujours, déclenché un foisonnement de promesses. Appelés aux urnes, nos compatriotes n’ont pas même laissé aux candidats le temps de trahir leurs engagements. Ils ont clairement exprimé par leur vote une invincible défiance à l’égard de responsables politiques qui ne semblent plus en mesure de régler les problèmes quotidiens.

L’urgence est pourtant criante. L’abandon des territoires périphériques s’accélère ; la pauvreté augmente, tandis que des catégories jusqu’à présent protégées voient leur niveau de vie significativement baisser ; des services publics sont abandonnés au prétexte qu’ils ne sont plus en phase avec les ambitions d’une modernité que nul ne sait définir. Cet affaiblissement de l’État, imposé en dépit des conséquences catastrophiques qui en découlent dans les domaines de la sécurité, de la santé ou de l’instruction, n’empêche nullement la dette publique d’atteindre des proportions abyssales. Aujourd’hui, les Français attendent des réponses à ces questions brûlantes, et non l’aumône de quelques chèques.

À l’extérieur, les déconvenues et les dangers ne paraissent pas moindres. La guerre aux confins de l’Europe vient s’ajouter aux déséquilibres provoqués par les migrations incontrôlées, par la menace du terrorisme islamiste ou l’hostilité croissante entre les États-Unis et la Chine. L’état du monde contredit tragiquement les discours en vogue parmi les dirigeants européens, qui continuent à s’étourdir de fausses idéologies alors même que le cynisme le plus brutal prévaut dans les relations entre États.

Les Français attendent des réponses à leurs questions brûlantes, et non l’aumône de quelques chèques.

Voilà un bien triste bilan. Et pourtant, il est de mon devoir d’adresser un message d’espérance à ceux qui croient en leur pays et en ce qu’il peut apporter au monde, à ceux qui conservent foi en son avenir. La solution à la crise que nous traversons dépend de la capacité des Français à retrouver les principes fondamentaux d’une saine politique : comme l’exemple de Saint Louis nous l’enseigne, ce sont ceux du long terme, de la justice et du bien commun. On ne saurait restaurer ces valeurs essentielles sans réfléchir d’abord à la finalité de nos institutions. Le bien commun doit-il s’évaluer en termes purement économiques ? Notre société doit-elle demeurer uniquement matérialiste ou doit-elle chercher à élever les individus ? C’est, à mes yeux, dans notre héritage gréco-latin et chrétien que se trouve la réponse à ces questions.

Pour réaliser cette grande espérance, il est également indispensable que notre pays fasse de nouveau entendre sa voix dans le monde. Cela suppose de renouer avec le pragmatisme qui, durant des siècles, a guidé la diplomatie de nos rois et fait de la France un acteur de premier plan sur la scène mondiale. L’équilibre instauré en Europe par les traités de Westphalie (1648) devrait nous servir d’exemple : à l’opposé de l’hystérie moralisatrice ou de la cupidité sans frein qui caractérisent aujourd’hui les rivalités entre les grandes puissances, cet ordre reposait sur la reconnaissance lucide des intérêts à la fois légitimes et contradictoires des différents États. Le moment n’est-il pas venu pour la France de renouer avec cette tradition et de proposer un nouveau modèle stratégique, dont la coopération entre nations européennes serait le cadre et le fondement ?

Une seule inquiétude pourrait affaiblir l’espérance qui m’anime et que je souhaite partager : aux yeux d’un grand nombre de nos compatriotes, la France a cessé d’être une famille. Alors que la famille et les valeurs traditionnelles sont partout combattues, il n’y a rien de surprenant à ce que le sentiment d’appartenance à la famille politique se dissolve également.

Aux yeux d’un grand nombre de nos compatriotes, la France a cessé d’être une famille.

Pour faire revivre l’amour de la France dans le cœur des Français, il importe avant tout de les réconcilier avec leurs familles, c’est-à-dire avec eux-mêmes. Le combat pour les valeurs familiales m’apparaît donc comme une priorité, car c’est d’abord au sein des familles que se transmettent le caractère, les valeurs, les principes qui font l’âme d’une nation.

On ne saurait rendre aux Français l’amour de leur pays sans leur faire également reprendre conscience des liens indissolubles qui les unissent. Pendant plus de huit siècles et à travers bien des vicissitudes, les souverains qui se sont succédé sur le trône de France ont forgé ces liens. Il faut souhaiter que des initiatives nouvelles fassent découvrir aux jeunes générations les trésors de génie, de grandeur et de gloire que nos devanciers nous ont légués.

Il est vrai que l’opinion publique actuelle semble bien éloignée de ces préoccupations. Puissent les Français soucieux du bien commun ne pas se décourager pour autant ! Notre histoire démontre que de grandes choses peuvent être accomplies par un petit nombre. La France a déjà connu des heures difficiles, parfois tragiques, mais la Providence a toujours suscité une Jeanne d’Arc ou un Henri IV pour reprendre en main le destin de la nation. Pour ma part, dépositaire et gardien de la tradition capétienne, je contribuerai de toutes mes forces à cet indispensable renouveau, pour que vive la France.

18/08/2022

Une pièce de théâtre, jouée le 10 septembre 2022 : les chouans de Chémeré

Journée de Chémeré - le samedi 10 septembre

au Couvent Saint-Thomas d'Aquin - 53340 Chémeré-le-Roi

 

 

 

10 h 00 : messe solennelle
11 h 30 : verre de l’amitié
12 h 30 : repas dans le parc du couvent


14 h 00 : témoignage sur la situation en Ukraine, par M. Nikola Mirkovic, fondateur de l'association Ouest-Est

 

16 h 00 : spectacle : "Les Chouans de Chémeré - suite et fin" La première partie (voir vidéo ci-dessous) sera également jouée.

 

18 h 00 : vêpres




 


12/08/2022

31/05/2022

Au carrefour de l’Histoire de France, par Henry Renoul


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    La Vendée, qu'elle soit administrative ou militaire, est le département-province qui a suscité le plus d’essais historiques depuis deux siècles. Il fallait donc un nouvel angle pour renouveler l’intérêt permanent des lecteurs de Vendée et d’au-delà !

 Charlotte de Villiers l’a trouvé en inscrivant la Vendée "au cœur de l’Histoire de France", recensant dans ses deux millénaires les personnages et les évènements qui dépassent l’étroit cadre territorial du département créé en 1790.

      D’abord une présentation soignée des éditions « La Geste » avec en illustration de couverture quelques-uns des personnages évoqués dans l’ouvrage : Aliénor, Clemenceau, Cathelineau, Richelieu ou Gilles de Rais ! Ensuite une très importante et parfois rare collection de photos qui illustre les 23 grands chapitres de l’histoire du Bas-Poitou, devenue Vendée, voire Grande Vendée. Enfin une écriture simple et accessible de ce qu’il faut absolument savoir quand on se revendique « Vendéen ».    Les premiers chapitres décrivent d’ailleurs les modifications des limites administratives des provinces entre Bretagne, Anjou et Poitou, sous la dynastie de ses comtes, les Ramnulfides, puis plus loin des diocèses entre Nantes, Angers, Luçon, Maillezais et La Rochelle, laissant subsister jusqu’à la Révolution des Marches communes entre provinces qui seront souvent les lieux des paroisses les premières soulevées en 1793.

C’est d’ailleurs par cette épopée et sa terrible répression génocidaire que la Vendée a trouvé sa place dans l’Histoire. Charlotte de Villiers a choisi le Pardon de Bonchamps, l’acte magnanime du général vendéen mourant et choisissant de gracier les prisonniers républicains. 

   Deux encartés racontent et expliquent l’épopée de la Duchesse de Berry défendant son fils Henry, dernier Bourbon direct dont le trône est usurpé par Louis-Philippe d’Orléans et la si attachante « Petite Église de Vendée » résistante au progressisme du Concordat de 1802.

  Mais il était nécessaire, voire indispensable que l’on se souvienne de la place du Poitou dans la France : les saints Hilaire et Philibert, Rabelais, Richelieu, le Père de Montfort, Clemenceau, de Lattre y ont toute leur place dans l’Histoire de France ! Une mention particulière pour Aliénor d’Aquitaine, et une évocation de Jehanne d’Arc par l’intermédiaire de Gilles de Rais qui fut son maréchal avant de sombrer.

Les grands évènements de la moderne Vendée – Puy du Fou, Vendée-Globe, visite de Soljénitsyne à l’occasion du bicentenaire vendéen –, les missionnaires, les artistes , les écrivains tel Jean Yole ou René Bazin concluent cet ouvrage qui trouvera sa place dans toutes les bibliothèques vendéennes de la géographie et de l’esprit.


Henry Renoul


Dédicaces :

  • Cahiers Lamartine, Les Sables d’Olonne 18 juin 10h/17h
  • Hyper U, Les Herbiers 25 juin de 10h à 12h30
  • Médiathèque, Saint-Laurent-sur-Sèvre 2 juillet de 15h à 18h
  • La Vendée, Carrefour de l’Histoire de France

Édité par La Geste, 11 rue Norman-Borlaug 79260 La Crèche

www.gesteditions.com 29,90 Euros


26/05/2022

La Vendée Militaire est en deuil

    Nous avons appris le rappel à Dieu de notre adhérent et ancien vice-président de la Vendée Militaire, M. Jean Pivert, survenu le 20 mai dernier, muni des sacrements de l’Église. Sa messe de sépulture eut lieu hier à Notre-Dame des Victoires à Angers. 

    Jean Pivert nous avait accueillis avec générosité, le 22 octobre 2011, à La Saulaie à Martigné-Briand. La Vendée Militaire avait posé ce jour-là une plaque commémorative, dédiée à madame de Cambourg, sur une croix située à l’entrée de sa propriété. Une nombreuse assistance était présente parmi laquelle une délégation espagnole des requétés avait fait tout spécialement le déplacement.

    Jean Pivert était pour nous tous un ami particulièrement précieux et chaleureux avec notre mouvement. Il était encore parmi nous, à Montjean-sur-Loire, lors de la projection du film de Patrick Buisson : Les manants du Roi. Son souvenir parmi nous ne s’effacera pas. 

    La Vendée Militaire présente ses biens sincères condoléances à sa famille et l’assure de ses prières.

03/05/2022

Dans Lectures françaises

 Cette revue trimestrielle vient de publier en avril 2022 son numéro 780. Fondée en 1957 par le regretté Henry Coston et reprise par Jean Auguy, elle a pour directeur, aujourd'hui, François-Xavier d'Hauteville. Depuis, 65 ans, la revue nous renseigne sur la politique française souvent nocive pour notre pays. Lecture française est probablement la revue contre-révolutionnaire qui existe aujourd'hui. Lisez ce dernier numéro et vous en conviendrez (DPF VAD BP 70001 86190 Chiré-en-Montreuil Tel: 05 49 51 83 04

Ce numéro 780 contient une note (pp. 65 et 66) écrite par Mickaël Savigny. Merci à lui. Nous donnons ici le texte de cette note.


D.L.






23/04/2022

Communiqué de la Vendée Militaire

 Chers amis de la Vendée Militaire,

Dominique
Lambert de La Douasnerie
Président fondateur

    Alors que nous étions sur le point d’achever la revue Savoir, notre président fondateur a rencontré des ennuis de santé nécessitant une hospitalisation en urgence d’une quinzaine de jours. 

    Sorti de ce mauvais pas, mais très fatigué, il doit encore se reposer quelques jours. 

    Cependant, début mai, il sera de nouveau à son écritoire pour terminer la revue Savoir qui se présentera une nouvelle fois sous la forme d’un numéro double de 96 pages qui vous sera adressé courant juin.


Sophie 
Lambert de La Douasnerie
Trésorière

L’évènement imprévu, auquel notre président a été confronté, a contraint la Vendée Militaire à revoir le calendrier des publications de Savoir pour cette année. 

Aussi, au lieu de proposer comme nous l’avions envisagé trois revues de 64 pages (afin de maintenir un lien plus rapproché avec les adhérents dont les plus nombreux sont éloignés géographiquement du siège social), nous sommes dans l’obligation cette année de vous faire parvenir encore deux numéros doubles de 96 pages (parution en juin et décembre 2022).     Vous recevrez donc l’équivalent en nombres de pages de 4 numéros de 48 pages, ou de 3 numéros de 64 pages, sous la forme de 2 numéros doubles de 96 pages.

  L'assemblée générale se tiendra le 24 septembre prochain comme prévu et permettra de procéder aux élections du Comité d'Administration et du Bureau. 

    Le président remercie dès maintenant ceux qui ont proposé leur candidature pour renforcer l'équipe de la Vendée Militaire dont la mission sera de piloter avec le président fondateur notre association durant les cinq prochaines années.


Henry Renoul
premier vice-président
La direction de la revue s’excuse de ce changement imprévisible concernant le rythme de la publication de Savoir pour cette année. Malgré l’épreuve que surmonte notre président, Dominique Lambert de La Douasnerie n’a jamais cessé d’administrer la Vendée Militaire par l’intermédiaire de notre  trésorière. Il continue à assurer le bon fonctionnement de notre mouvement. Il confirme comme nous tous son attachement aux principes dynastiques et religieux définis lors de la création de la Vendée Militaire en 1976.


Ingrandes le Fresne sur Loire, le 23 avril 2022

pour le président Dominique Lambert de La Douasnerie

Sophie Lambert de la Douasnerie, trésorière

 Henry Renoul, premier vice-président


17/03/2022

Un film très attendu

 


Puy-du-Fou Vendée :

Charette bientôt à l’honneur 

dans un film à grand spectacle 



Couronné à deux reprises Meilleur Parc du Monde, le Puy du Fou tourne actuellement sa première réalisation cinématographique, Vaincre ou Mourir, en partenariat avec Canal+ et Studiocanal.


Le grand voyage dans le temps du Puy du Fou va désormais se poursuivre sur tous les écrans, avec un film à grand spectacle, véritable fresque épique, qui fera entrer les spectateurs dans l’intimité d’un héros fran­çais.


Charette à l’honneur dans « Vaincre ou Mourir »


Déjà à l’honneur du spectacle « Le Dernier Panache » dont il est le personnage principal, François Athanase Charette, dit « Charette », a déjà séduit 10 millions de spectateurs venus au Puy du Fou. L’incroyable destin de ce héros français oublié par l’Histoire sera porté à l’écran dans Vaincre ou Mourir.
Cet officier de marine, vainqueur de la Guerre d’Indépendance Américaine, voit sa vie basculer en 1793 quand il s’engage dans un ultime combat pour la liberté.

 


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Un film épique basé sur des sources historiques fiables


« La Vendée ne peut être complètement expliquée que si la légende complète l’Histoire. Il faut l’Histoire pour l’ensemble et la légende pour les détails. » Victor Hugo (Quatre-Vingt Treize).
Cette citation de Victor Hugo résume à elle seule l’esprit de « Vaincre ou Mourir », la première production de Puy du Fou Films. Mise en scène comme un grand film épique, elle est construite sur une solide documentation, avec la participation d’historiens spécialistes de la Révolution Française: Jean-Clément Martin, Nicolas Delahaye ou Anne Rolland-Boulestreau, experts de renom de cette époque méconnue de l’Histoire de France.

 

La distribution


Hugo Becker interprétera Charette.

Jean-Hugues Anglade, Rod Paradot, Constance Gay, Gilles Cohen, Anne Serra, Dorcas Coppin, Francis Renaud ou encore Grégory Fitoussi, lui donneront la réplique.


Le savoir-faire du Puy du Fou


Ce film, ambitieux et grand-public, s’appuie sur le savoir-faire artistique et les installations uniques du Puy du Fou : des décors authentiques, 60 000 costumes, 230 chevaux de spectacle, un vivier de milliers d’artistes (cascadeurs, cavaliers, danseurs, escrimeurs), plusieurs dizaines d’hectares de terrain naturel, des ateliers de construction de décors et de confection de costumes, 500 chambres d’hôtels et 23 restaurants.


1ère réalisation pour Le Puy du Fou Films


Réalisé par Paul Mignot et Vincent Mottez sur une idée originale de Nicolas de Villiers, Président du Puy du Fou, cette création originale sera distribuée par Studiocanal et les chaînes du groupe Canal+ dès 2023.

Puy du Fou Films, entité dédiée à la production cinématographique et audiovisuelle, devient le prolongement de l’ambition du Puy du Fou (45 ans d’expérience) en matière de grand spectacle, pour lui donner vie sur grand écran. Guidée par l’inspiration originelle du Puy du Fou, elle souhaite proposer des productions originales (films, séries, documentaires) inspirées de la grande Histoire et de ses légendes pour le cinéma et les grandes plateformes. Vaincre ou Mourir sortira en salle de cinéma en 2023.


Ce premier film ouvre la voie à d’autres projets audiovisuels, longs-métrages et séries, produits par Puy du Fou Films, la nouvelle entité de production audiovisuelle destinée à mettre en scène des histoires sur les écrans.
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FICHE TECHNIQUE

Titre : Vaincre ou Mourir (durée: 110 mn)

Date de sortie: 2023


Réalisateur : Paul Mignot – Scénario : Vincent Mottez

Paul Mignot est un réalisateur chevronné dans le monde du court métrage et de la publicité, notamment réalisateur du court-métrage français le plus primé à l’international « All Blood Runs Red » (2019). Avec son talent, il met en images cette histoire authentique avec audace et modernité.

Vincent Mottez, scénariste et coréalisateur, est un écrivain historien, habitué des docu-fictions historiques, qui a mis ses connaissances et son talent de narrateur au service du film.

Producteur : Puy du Fou Films

Distributeur : Studio Canal

Acteurs : Hugo Becker, Constance Gay, Jean-Hugues Anglade, Anne Serra, Rod Paradot, Gilles Cohen, Grégory Fitoussi, Dorcas Coppin, Francis Renaud …

Photographie : Alexandre Jamin – Montage : Tao Delport – Décors : Irène Marinari – Costumes : Emilie Monchovet – Langue originale : français.



Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais