25/11/2017

24 novembre : Salle comble pour la veillée de La Tourlandry

           Belle participation, hier, à la 215ème veillée vendéenne organisée par Thierry Barnole à la demande de la Vendée Militaire et animée par Dominique Lambert, président de la Vendée Militaire. Durant une heure et demie, le conférencier a raconté dans les détails l'histoire de La Tourlandry pendant la Révolution et les guerres de Vendée. Un beau moment d'histoire vendéenne.

       Le début de la veillée a été attristé par le malaise de Josiane Barnole, que les pompiers ont transportée à l'hôpital de Cholet puis de Nantes. Les nouvelles, que nous avons prises ce matin auprès  de notre ami Thierry, sont plutôt satisfaisantes mais Josiane doit rester toute la semaine prochaine en observation à l'hôpital. Nous lui souhaitons de retrouver très vite la santé. Elle sait combien nous l'aimons. 

Voici quelques images de cette soirée, en attendant une vidéo.





20/11/2017

Un nouveau et magnifique ouvrage sur les guerres de Vendée entièrement écrit par Patrick Buisson

"La guerre des mémoires entre bleus et blancs qui avait donné lieu à une imposante littérature de combat - dont ce livre s'est fait largement l'écho - est aujourd'hui achevée. La controverse a quitté le terrain de l'idéologie pour une approche sinon dépassionnée du moins plus soucieuse des règles de la critique historique, si bien qu'il est devenu désormais impossible de nier le coût humain de la tragédie vendéenne. [...]
Il y a eu génocide car les Vendéens furent massacrés "comme tels" - en exécution d'un plan concerté au sommet sans relation aucune avec les nécessités militaires ni avec les impératifs de défense nationale et après que l'armée catholique et royale eut été écrasée en décembre 1793 dans les bois de Savenay."

Patrick Buisson


Qui mieux que l’auteur de La Cause du peuple et directeur de la chaîne Histoire pouvait mettre en mots et en images la guerre emblématique de la Contre-Révolution ?

Patrick Buisson a réalisé de bout en bout ce superbe album qui comprend quelque 150 illustrations, dont de nombreuses méconnues ou inédites : tableaux, gravures, drapeaux, vitraux, emblèmes, armes et objets éclairent un texte original et enlevé qui fait une large place à des mémoires et témoignages contemporains

Itinéraire du génocide vendéen. Elodie Cabot et la bataille du Mans


19/11/2017

Le dernier édito de François Marcilhac dans l'Action Française



«  Soleil cou coupé  »
Mandaté depuis septembre dernier par Macron pour la sauvegarde du patrimoine en péril, l’animateur de télévision Stéphane Bern souhaite faire payer l’entrée des cathédrales en France, s’inspirant, dit-il, des autres pays européens  : «  On est le seul pays où leur accès est gratuit. À Londres, l’entrée à l’abbaye de Westminster est fixée à 24 euros  !  » – oubliant de préciser qu’Anne Hidalgo, pour Notre-Dame, avait déjà eu la même idée au commencement de son mandat et qu’elle s’était alors vu opposer une fin de non-recevoir de l’archevêché de Paris. Bern, du reste, avoue qu’il ne fait que ressortir l’idée de «  la  » maire de Paris, en reprenant l’argument de celle-ci dans son entretien au Parisien du 10 novembre  : «  Une ville comme Paris n’a plus les moyens d’entretenir son patrimoine religieux.  » Ce qui est faux. Première ville touristique du monde, Paris pourrait entretenir ses églises qui participent pleinement de son attractivité et lui rapportent donc… Tout est évidemment une question de choix  : et ceux de «  Notre-Drame de Paris  », c’est de privilégier les Jeux olympiques, pour lesquels le scandaleux voyage à Lima de la délégation française en septembre – 1,5 million d’euros – annonce un gaspillage financier sans précédent  ; de subventionner des associations immigrationnistes ou LGBT ou de transformer la capitale en sanatorium festif en en chassant la voiture. Tout en laissant non seulement se délabrer ses églises, mais aussi proliférer les rats et transformer l’ancienne Ville Lumière en dernier dépotoir de France à ciel ouvert.
Qu’importe les exemples étrangers, même de pays dits catholiques, comme l’Autriche, l’Italie ou l’Espagne  ? Que dans notre République laïque et obligatoire, les cathédrales et les simples églises soient encore considérées avant tout comme des lieux de prière peut paraître saugrenu aux yeux d’Anne Hidalgo ou de Stéphane Bern. Aux nôtres, c’est la réaffirmation essentielle que tout ne se vend ni ne s’achète et qu’il ne convient pas de réintroduire les marchands dans un temple… transformé en musée  ! 
Pourquoi donner une telle importance à ce qui pourrait n’apparaître que comme une anecdote  ? Parce qu’elle illustre combien la victoire d’Emmanuel Macron provoque un total renversement de tous les fondements de la société française – et la Conférence des évêques de France, qui est aussitôt montée au créneau, ne s’y est pas trompée. Faire payer l’entrée des cathédrales ou des églises remarquables, c’est inverser, et donc nier, la nature même du bâtiment, en faire un monument vénérable par sa dimension historique et artistique et non plus par son caractère sacré, qui devient accessoire. On dira que la plupart des touristes visitant nos cathédrales ne sont pas croyants, ni même baptisés  ? Et alors  ? Outre que, dans la définition du touriste, n’entre pas celle de l’incroyant – en termes scolastiques on dira que le «  touriste  » n’est pas une espèce du genre «  incroyant  » –, on ne saurait réduire ce qui constitue l’âme d’un pays à des monuments d’un passé qu’on souhaiterait révolu – en l’occurrence le catholicisme comme passé religieux de la France –, et qui se visitent comme tels. Ni accepter que les «  derniers  » croyants soient, comme les derniers Peaux-Rouges d’Amérique du Nord sur leur territoire, parqués dans quelque zone de la cathédrale encore réservée à la prière.
La Macronie, c’est le règne arrogant et cynique de l’argent, devenu le critère à l’aune duquel tout est mesuré. La victoire que l’oligarchie voudrait définitive de l’avoir sur l’être. D’où la vulgarité foncière du macronisme, cet idéal matérialiste et consumériste que notre Jupiter philosophe propose à la jeunesse – devenir milliardaire –, vulgarité qu’il ne peut plus contenir à intervalles réguliers, comme si le vernis finissait pas craquer au contact de ceux dont il ressent la simple présence comme une offense à sa basse conception de la réussite calculable en termes de costards. D’où, aussi, l’instrumentalisation de tout ce qui respire l’être pour le réduire à une dimension strictement utilitariste. Vérité du «  en même temps  »  : faire d’une cathédrale en même temps un musée dont on paie l’entrée et un lieu de prière aboutit à la réduction du spirituel au culturel, puis de celui-ci à sa rentabilité touristique.

Macron et la figure du roi
Donner le change, pour mieux subvertir. Parce que, comme jadis Giscard, il les regarde de l’extérieur  : c’est dans les médias étrangers que Macron aime livrer sa pensée sur les Français. Et de revenir une énième fois, le mois dernier, dans un entretien à l’hebdomadaire allemand Der Spiegel, sur la prétendue verticalité dans laquelle il souhaite s’inscrire, tournant le dos à la normalité du quinquennat précédent. Mais là encore, c’est la structure sans le contenu, comme dans ce premier entretien qu’il avait donné à L’Un en juillet 2016 où le roi n’est qu’une «  figure  », et non une «  réalité effective, une personne  », comme le définit Boutang. Aux yeux de Macron, la verticalité n’est qu’une posture, dépourvue de toute transcendance véritable. Comme il le précise au Spiegel  : en France, «  l’Église catholique a marqué la société d’une empreinte verticale de haut en bas [sic] et je suis persuadé que cela [resic] persiste  ». Le phénomène du souverain ne serait donc plus qu’un marqueur de notre rapport au pouvoir à la fois intangible mais dépourvu de toute signification (comme nos cathédrales devenues musées), ce que n’avaient compris ni Sarkozy, ni surtout Hollande. Les Français en auraient besoin comme d’une poudre aux yeux symbolique qu’il faut leur jeter pour mieux leur faire admettre, sous les atours royaux, la fin du politique dans un monde devenu «  poreux  ». Et d’ajouter  : «  Non, je ne me prends pas pour un roi  ! Mais, qu’on le veuille ou non […]  : la France est un pays de monarchistes régicides. Paradoxe  : les Français veulent élire un roi, et en même temps pouvoir le renverser quand ils veulent.  » Réécriture pleine de signification des trois régicides (Henri III, Henri IV et Louis XVI), dont aucun ne fut la conséquence d’un consensus populaire. Au contraire, les deux premiers furent le fait d’illuminés armés par des conspirateurs ultra-minoritaires, le troisième ouvrit sur une guerre civile. Quant aux révolutions de 1830 et 1848, elles furent imposées par une fraction de Paris au reste de la nation.
On l’aura compris, ce qui fascine Macron, ce n’est pas la transcendance effective du souverain, interface ou non d’une transcendance divine (le sacre des rois de France). Mais le régicide. Autrement dit la mort violente du souverain. C’est qu’il se sait condamné à prendre de court les Français, s’il veut en finir, comme c’est son projet, avec l’indépendance de la nation, définitivement, dans une Europe qui aurait réglé le problème de notre rapport prétendument régicide au souverain en s’appropriant elle-même la souveraineté.  C’est une lutte à mort qui se trouve ainsi engagée contre notre liberté et que Macron est chargé de conduire, ce qu’il fait avec prudence et détermination, par petites touches, par petites victoires successives, en s’efforçant de rendre l’Europe chaque jour plus incontournable tout en nous alignant sur l’Allemagne. Il ne flatte notre goût de l’histoire que pour mieux en faire notre passé révolu, que viendront visiter par cars entiers les touristes du monde entier – et les Français eux-mêmes, devenus touristes étrangers à leur propre pays, à leur propre civilisation. Mais il sait aussi qu’il n’y a pas loin du Capitole à la roche Tarpéienne. D’où le caractère morbide de sa fascination pour le régicide. «  Soleil cou coupé  » (Guillaume Apollinaire, «  Zones  », Alcools).
François Marcilhac
Paru dans l'Action Française 2000 n° 2966 du 16 Novembre 2017.


Une bonne nouvelle pour les férus de la chouannerie

A l'histoire de la chouannerie du craonnais autrement dit de la chouannerie segréenne, il manquait un grand livre sur le général Marie-Paul-Alexandre-César, vicomte de Scépeaux, né à Angers, le 19 septembre 1768 et mort dans la même ville, le 28 octobre 1821. Sa vie commence par un mystère. Pourquoi les prénoms Alexandre-César ne figurent pas sur son acte de naissance ? 
Seigneur du Boisguignot aujourd'hui Bois-Guinot, à Bécon les Granits, il était le beau-frère de Charles de Bonchamps qui ne fut jamais marquis. Après avoir combattu dans l'armée de ce dernier, il traversa la Loire, en octobre 1793, avec l'armée vendéenne. A partir de 1794, il sera l'un des organisateurs de la chouannerie dans le segréen et en prendra le commandement après la mort de M. Guillaume de Sarrazin.

Sa vie, un véritable roman, paraître très prochainement aux Editions Pays et Terroirs. Sous la plume étincelante d'un spécialiste de la rive droite de la Loire, M. Tanneguy Lehideux. Il apportera une contribution importante à l'histoire des insurrections de l'Ouest. Signalons cependant une biographie de ce personnage par M. de La Villebiot, biographie restée inédite. N'oublions pas non plus les notes si précieuses de M. Arthur du Chesne.

Scépeaux, petit homme par la taille, maigre et " de mince apparence ", mais d'une agilité extraordinaire, d'une adresse à cheval que rien ne surpassait, a laissé dans le pays de Segré, comme le fameux général d'Andigné, un souvenir encore très présent dans la mémoire collective de cette région. Un ouvrage a lire absolument.

D.L.










16/11/2017

Enfin une bonne nouvelle !

L'Action Française 2000 - du 16 novembre au 6 décembre2017

Périple en Vendée

Voyage événement accompagné par Reynald Secher 

Mars 1793 : 600 paroisses de quatre départements au sud de la Loire se soulèvent par refus de la "levée en masse" et pour défendre leurs "bons prêtres", persécutés par le régime révolutionnaire. C’est le début des guerres de Vendée. Derrière des chefs issus du peuple (Cathelineau, Stofflet…) et d’anciens officiers (La Rochejaquelein, Bonchamps, Charette…), une armée de paysans va résister avec foi et courage. Ceux que Napoléon qualifiait de "géants de la Vendée" combattront les Bleus durant trois ans. 

Ce voyage exceptionnel accompagné par l’historien Reynald Secher, éminent spécialiste des guerres de Vendée, conteur passionné et auteur du livre « Vendée, du génocide au mémoricide » retrace cette période tragique de l’histoire de France. Voici, pour vous grand-parents, une belle occasion de vivre un temps privilégié avec vos petits-enfants autour d’une page d’histoire émouvante. 

«Aujourd'hui, je le pense, les Français seront de plus en plus nombreux à mieux comprendre, à mieux estimer, à garder avec fierté dans leur mémoire la résistance et le sacrifice de la Vendée.» 
Alexandre Soljenitsyne

15/11/2017

Au Hall of Fame, le sacre mondial de Philippe de Villiers. Bravo l'artiste !

le célèbre prix “Hall of Fame” pour son oeuvre au Puy du Fou. 

“Il m'arrive un truc incroyable”, confie Philippe de Villiers. Ce mardi 14 novembre, le fondateur du Puy du Fou est récompensé personnellement à Orlando (Floride), lors de la cérémonie d'ouverture du plus grand salon international des parcs. Le prix qu'il vient de recevoir consacre une “contribution extraordinaire dans l'évolution et le développement des parcs à thème dans le monde”.


Walt Disney fut le premier lauréat de l'histoire de cette récompense, habituellement décernée à titre posthume. Aujourd'hui, Philippe de Villiers est le premier français à être distingué. “C'est une belle reconnaissance pour le Puy du Fou et pour moi personnellement”, dit-t-il à Valeurs actuelles. Il s'agit pour le parc vendéen de la cinquième récompense internationale reçue en seulement cinq ans. 


Extrait de valeursactuelles.com du mardi 14 novembre 2017

08/11/2017

La mascarade de Ploërmel : la volonté de massacrer notre mémoire collective par Jacques GUILLEMAIN

Non aux sapins de Noël dans nos écoles, non aux crèches dans nos mairies, non aux croix dans les espaces publics.
Mais oui aux repas halal dans les établissements scolaires, oui au port du voile dans les écoles d’infirmières, oui au burkini sur nos plages, oui aux baux emphytéotiques accordés par les mairies pour bâtir des mosquées, oui aux centres culturels musulmans avec salles de prières financés par le contribuable
Oublié l’article 2 de la loi de 1905 : “La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte”.
Après avoir annulé les arrêtés contre le port du burkini dans 30 communes, le Conseil d’Etat vient encore de s’illustrer par son interprétation à géométrie variable de la loi de 1905.
C’est ainsi qu’à Ploërmel, Jean-Paul II va perdre sa croix au nom de la laïcité !
La statue de l’ancien pape, offerte par l’artiste russe Zourab Tseretelli, devra perdre l’immense croix qui la surmonte,  à défaut d’être déplacée sur un terrain privé.
Cette croix gêne deux habitants de la ville sur 9000 et la Fédération morbihannaise de la Libre-Pensée !
C’est oublier l’article 1 de la loi de 1905 qui stipule que “la République assure la libre conscience et garantit le libre exercice des cultes”.
Mais les “sages” ont jugé que cette statue était un emblème religieux contraire à la loi ! Depuis quelques années, la justice administrative ne cesse d’interpréter la loi de 1905 au mépris de nos traditions, de notre culture, de notre histoire.
Par cette décision absurde, le Conseil d’Etat décrète qu’une œuvre d’art peut être légale ou illégale !
Les sages oublient que la France est chrétienne depuis Clovis, premier roi barbare baptisé chrétien en 496 à Reims, devant 3000 guerriers francs.
Ils semblent ignorer que la France est “Fille aînée de l’Eglise”, puisque les papes catholiques en ont appelé à Clovis et à ses successeurs pour défendre l’Eglise.
Tous les rois de France ont donc été les “Fils aînés de l’Eglise”.
Va t-on s’excuser d’être chrétiens ? Va t-on renier nos 1500 ans de chrétienté ?
Va t-il falloir se résigner à détruire les clochers de nos 45 000 églises pendant que Dalil Boubakeur réclame la construction de 2000 mosquées de plus en deux ans ?
Cette loi de 1905, qui ne posait plus aucun problème depuis 100 ans, est devenue sujet de crispation depuis que la France s’islamise à grands pas.
En 2007, le Conseil d’Etat avait déjà rendu plusieurs jugements contraires au principe de la laïcité. Une interprétation toujours favorable à l’islam.
Contre l’avis de la cour administrative d’appel de Nantes, il avait autorisé une subvention de 380000 euros pour aménager un abattoir musulman au Mans !
Au nom de “l’intérêt public local” et pour satisfaire les revendications communautaristes, on contourne allègrement la loi de 1905.
Mais quand il s’agit d’effacer les traditions chrétiennes, on l’applique sans état d’âme.
A Ploërmel, la solution serait de privatiser le terrain sur lequel repose la statue de Jean-Paul II. L’association “Touche pas à mon pape” s’y emploie en collectant les fonds nécessaires à l’achat du terrain.
Le maire n’écarte pas l’idée d’en appeler à la Cour européenne des droits de l’homme. A suivre…
Enfin, si ces solutions échouent, la Pologne, pays de l’ancien pape, se propose d’accueillir cette statue avant qu’elle ne soit mutilée.
« Le gouvernement polonais tentera de sauver de la censure le monument de notre compatriote, et nous proposerons de le transférer en Pologne, en cas d’accord des autorités françaises et de la communauté locale », a déclaré Mme Szydlo.
C’est ainsi que les sages, totalement imperméables au bon sens, vont donner à une simple croix, installée dans une commune de 9000 habitants, une envergure internationale ! Heureusement que le ridicule ne tue pas…
Il n’en demeure pas moins que la décision de supprimer la croix qui surplombe la statue d’un pape, est un sacrilège aux yeux des chrétiens.
Et c’est un massacre de notre mémoire collective.
Les sages ne sont pas propriétaires de notre histoire et de nos traditions. Ils n’ont pas à raser 1500 ans de chrétienté pour satisfaire quelques bouffeurs de curés.
Il est devenu honteux d’évoquer les saints du calendrier liturgique.
Le Conseil d’Etat va t-il nous imposer de débaptiser les 4260 communes dont le nom commence par Saint…?
Il y a plus de 10 000 croix et calvaires en Bretagne. Faut-il les raser ?
Il y en a plus de 100 000 en France, au carrefour des chemins de campagne, faut-il les détruire dans “l’intérêt public local”  ?
Avec les irresponsables qui nous gouvernent et qui ont honte de leurs racines chrétiennes et de notre histoire, le pire est toujours possible !
Jacques Guillemain