19/02/2018

Le génocide vendéen fait la une des journaux. La cause avance !

Pour la reconnaissance du génocide vendéen

Deux députés, Emmanuelle Ménard et Marie-France Lorho, viennent de déposer un projet de loi pour une reconnaissance officielle du génocide vendéen. Ce n’est pas la première fois qu’un tel projet est déposé. En 2008, neuf députés, dont le centriste Hervé de Charrette, avaient déjà fait une telle proposition. Plus près de nous, le 18 janvier 2013, plusieurs députés de droite, dont Lionel Luca, Alain Marleix et Marion Maréchal-Le Pen, avaient également tenté de faire voter une loi, composée d’un article unique : « La République française reconnaît le génocide vendéen de 1793-1794. » Ce projet avait suscité l’ire de l’entourage de Mélenchon, considérant que son ciment en était uniquement « la haine de la Révolution ». Mais, surtout, la gauche avait stigmatisé le soutien du FN à ce projet d’un élu UMP. Affolés, deux signataires s’étaient immédiatement désistés.

14/02/2018

Génocide vendéen : Nouvelle proposition de loi

N° 646
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ASSEMBLÉE NATIONALE
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958
QUINZIÈME LÉGISLATURE
Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 7 février 2018.
PROPOSITION DE LOI
visant à la reconnaissance des crimes commis
contre
 la population vendéenne en 1793-1796
et annulant les lois en exécution desquelles ils ont été commis,
(Renvoyée à la commission des affaires culturelles et de l’éducation, à défaut de constitution d’une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.)
présentée par Mesdames
Emmanuelle MÉNARD et Marie-France LORHO,
députées.
EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,
Les opérations militaires connues sous le nom de « guerre de Vendée » ont causé la mort d’environ 200 000 personnes dont 170 000 habitants de la Vendée et 30 000 morts parmi les forces chargées de la répression contre la « Vendée militaire ». Au cours des années 1793 à 1796, 20 à 25 % de la population de cette région a péri.
Cette guerre a été scandée par des massacres systématiques de prisonniers vendéens, par des pillages et des destructions massives des biens de la population vendéenne (leurs habitations, leurs récoltes, leurs troupeaux), ainsi que par de nombreux actes de barbarie (viols, tannerie de peaux humaines, utilisation de graisse humaine pour fabriquer du savon…). 
Les expéditions des « colonnes infernales » (de janvier à mai 1794) ont perpétré des crimes qui seraient qualifiés aujourd’hui, selon les cas, de crimes de guerre, de crime contre l’humanité ou de génocide. 
Ces violences ont été ordonnées par plusieurs lois votées par la Convention nationale et exécutées par les armées aux ordres du Comité de salut public, sous la surveillance constante des Représentants en mission, membres de cette même Convention et investis par elle sur proposition de ce même Comité de salut public.
Trois lois majeures sont à l’origine de ces faits.

11/02/2018

De nouveau le tocsin sonne en Vendée

Immigration. Le fondateur du Puy du Fou, Philippe de Villiers, espère qu’Emmanuel Macron osera “affronter avec courage la question du Grand remplacement”.

Invité ce jeudi soir sur le plateau de BFM TV, Philippe de Villiers a répondu aux questions de Ruth Elkrief. La journaliste l’invite d’abord à réagir à la couverture de l’Obs qui présente cette semaine Emmanuel Macron entouré de barbelés avec ce sous-titre : « Migrants, bienvenue au pays des droits de l’homme ». « Je suis très inquiet pour mon pays, lui répond Villiers, car les Français vivent dans un sentiment de dépossession de leur territoire, de leur mémoire, de leur histoire et de leur identité ». Loin d’être choqué, il adresse une mise en garde au président de la République : « C’est l’heure de vérité, du destin d’Emmanuel Macron. Ou bien il a rendez-vous avec l’Histoire, ou bien avec les histrions à la fin de son mandat. Pourquoi ? Il faut qu’il ose affronter avec courage, je pèse mes mots, le face à face angoissant sur notre territoire de deux populations. Une de plus en plus nombreuse et jeune, transplantée, et qui là où elle est transplantée voudrait continuer à vivre avec ses racines, son art de vivre, ses croyances, sa civilisation. Et une autre population, de moins en moins nombreuse, de plus en plus vieillissante, qui se coupe de ses racines. J’attends de lui qu’il préserve la survie de la France, c’est-à-dire la civilisation de la France ». Et d’ajouter, provoquant le malaise de la journaliste : « Il aura rendez-vous avec l’Histoire s’il affronte la question du Grand remplacement ». 

09/02/2018

Homélie prononcée par le père Michel Viot, lors de la messe de requiem de Louis XVI, le 20 janvier à Saint-Germain l'Auxerrois

   Voici le texte de l’homélie prononcée, samedi 20 janvier, par le père Viot lors de la  traditionnelle messe royale célébrée en présence des princes de la Maison royale de France, pour le repos de l’âme du roi Louis XVI et de tous les martyrs de la Révolution française, en l’église Saint Germain l’Auxerrois, paroisse des rois de France ( source : le blog du père Michel Viot).
« Or, la volonté de celui qui m’a envoyé, c’est que je ne perde aucun de ceux qu’il m’a donnés, mais que je les ressuscite au dernier jour. » (v 39).
    Cette affirmation capitale pour l’espérance chrétienne laisse tout de même planer un mystère à cause du passage évangélique dont elle est extraite : le discours sur le pain de vie. En y affirmant la nécessité de manger sa chair et de boire son sang pour obtenir la vie éternelle, Jésus va perdre de nombreux disciples. Après avoir dit : « Cette parole est rude ! Qui peut l’écouter ? », ils s’en retournèrent chez eux et cessèrent de faire route avec lui. Échec pour Jésus ? En apparence sans doute ! Aussi l’évangéliste prend-il soin de nous préciser que « Jésus savait dès le début quels étaient ceux qui ne croyaient pas ». Il ne nous invite donc pas, par là, à des spéculations sur la volonté secrète du Seigneur. Cela fait partie du mystère de l’élection, qui doit toujours demeurer mystère. En revanche, il s’agit de questionner ceux qui restent auprès de lui, sur leur foi, en premier lieu les douze et nous à leur suite ! Et je rappelle que parmi les douze il y a encore Judas. Croyons nous donc, comme les douze, que Jésus a les paroles de la vie éternelle pour continuer à le suivre, à être ses témoins, malgré la parole rude sur le pain de vie ?

01/02/2018

Deux importantes rééditions pour votre bibliothèque vendéenne

15€ + port

Jean-Christophe Mênard, le directeur des Editions Pays et Terroirs (Place de Rougé, 49 300 Cholet), a eu la bonne idée de rééditer deux petits ouvrages mais de grande importance.
   L'un de Paul Legrand (proche parent d'Henri Bourgeois), auteur d'une excellente monographie consacrée à La Gaubretière, paroisse connue de tout le monde pour son extraordinaire dévouement à la cause catholique et royale et pour le sacrifice de sa population.
     Un martyrologe qui fait froid dans le dos. Cette étude de Paul Legrand est intitulée Notes historiques sur la paroisse de La Gaubretière. La première édition avait été publiée par la Vendée historique de février 1906 à août 1907. La même année un tirage à part était proposé au public (Luçon, imprimerie Bideaux, 1907, in12, 316 p., avec une carte).
       L'ouvrage fut très vite épuisé et devint introuvable même chez les bouquinistes. C'est pourquoi mon ami Yves Grobert (†), grand amoureux du Poitou, me confia quelques jours son exemplaire afin de le photocopier. En 1983, un éditeur choletais en proposa une réédition qui fut bientôt épuisée. La nouvelle édition, très soignée par Jean-Christophe Mênard, est une aubaine pour les amoureux de la Vendée.
       Ce livre, en effet, offre des précisions très utiles sur certains officiers vendéens : le mariage de M. d'Elbée à Landebaudière chez le marquis de Boisy; des notes sur Jacques Forestier, le commandant Sauvageot (le bleu devenu blanc), Sapinaud de La Rairie, Marie Lourdais, André Duchesne, etc. Il donne une quantité d'anecdotes.

Macron et le génocide arménien

Macron veut un jour de commémoration
du génocide arménien
+ Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 31/01/2018

Emmanuel Macron s'est engagé mardi soir, lors du dîner annuel du Conseil de coordination des organisations arméniennes de France (CCAF), à faire inscrire au calendrier une "journée pour la commémoration du génocide arménien", une promesse de campagne.
Le chef de l'État, qui se rendra en octobre en Arménie, lors du sommet de la francophonie à Erevan, était l'invité d'honneur de ce dîner animé par André Manoukian et qui réunissait 500 personnes de la communauté arménienne dans un hôtel parisien.
      Vers un vote "dans les prochains mois" ?