M. Jean-Luc Neau, descendant du célèbre Julien-Gabriel Vallée, s'apprête à publier l'intégralité des Mémoires de son ancêtre, compagnon de Monsieur Henri et de Jean-Nicolas Stofflet.
Le peu que nous savions des Mémoires de ce "batailleur" avait été publié par le comte Théodore de Quatrebarbes dans l'édition de 1857 de son livre, Une paroisse vendéenne sous la Terreur (pp. 259 et s.). Les deux manuscrits, écrits entre 1854 et 1857, furent retrouvés par l'entremise d'un adhérent de la Vendée Militaire, il y a trente ans, chez Madame Grellier (décédée en 2012).
Son défunt mari, bien connu des historiens de l'Anjou, cousin de M. Yves Grobert (une légende de notre association), par la famille Leroy (du Grand Jardin), avait reçu ces manuscrits, le 9 décembre 1947, des mains de l'abbé François-Constant Uzureau (qui allait disparaître quelques semaines plus tard), avec mission de les publier.
Hélas, le légataire disparut avant de remplir sa promesse, d'ailleurs difficile à tenir. En effet, il s'agissait de réunir, de fusionner les deux manuscrits. Ce qui comportait de nombreuses difficultés...
Rappelons que ces manuscrits avaient été remis à l'abbé Antoine-Charles Vallée, fils du capitaine vendéen, en 1857, puis transmis à sa sœur en 1869. On suppose que cette dernière donna à l'abbé Uzureau les deux manuscrits.
La promesse faite à l'abbé Uzureau en 1947 se réalise aujourd'hui grâce à Jean-Luc Neau. Il aura passé trente ans de sa vie à essayer de mettre en ordre les manuscrits de Julien Gabriel Vallée. Saluons la patience et le travail de M. Neau, frère d'André Neau, l'historien du pays de Pouancé.
Je songe ici au baron de La Tousche d'Avrigny - le prestigieux historien de "Monsieur Henri" - qui faisait grand cas du témoignage de Vallée, du moins de ce qu'il connaissait de la publication Quatrebarbes. Le baron rêvait de consulter le texte complet des fameux Mémoires. Je l'entends encore me dire : " Tâchez de savoir ce que dit Vallée du repassage de la Loire à Ancenis ".
Le 15 novembre 2015 nous aurons la chance de connaître les dires de Vallées. D'ici là le temps risque de nous paraître bien long...
Le peu que nous savions des Mémoires de ce "batailleur" avait été publié par le comte Théodore de Quatrebarbes dans l'édition de 1857 de son livre, Une paroisse vendéenne sous la Terreur (pp. 259 et s.). Les deux manuscrits, écrits entre 1854 et 1857, furent retrouvés par l'entremise d'un adhérent de la Vendée Militaire, il y a trente ans, chez Madame Grellier (décédée en 2012).
Son défunt mari, bien connu des historiens de l'Anjou, cousin de M. Yves Grobert (une légende de notre association), par la famille Leroy (du Grand Jardin), avait reçu ces manuscrits, le 9 décembre 1947, des mains de l'abbé François-Constant Uzureau (qui allait disparaître quelques semaines plus tard), avec mission de les publier.
Hélas, le légataire disparut avant de remplir sa promesse, d'ailleurs difficile à tenir. En effet, il s'agissait de réunir, de fusionner les deux manuscrits. Ce qui comportait de nombreuses difficultés...
Rappelons que ces manuscrits avaient été remis à l'abbé Antoine-Charles Vallée, fils du capitaine vendéen, en 1857, puis transmis à sa sœur en 1869. On suppose que cette dernière donna à l'abbé Uzureau les deux manuscrits.
La promesse faite à l'abbé Uzureau en 1947 se réalise aujourd'hui grâce à Jean-Luc Neau. Il aura passé trente ans de sa vie à essayer de mettre en ordre les manuscrits de Julien Gabriel Vallée. Saluons la patience et le travail de M. Neau, frère d'André Neau, l'historien du pays de Pouancé.
Je songe ici au baron de La Tousche d'Avrigny - le prestigieux historien de "Monsieur Henri" - qui faisait grand cas du témoignage de Vallée, du moins de ce qu'il connaissait de la publication Quatrebarbes. Le baron rêvait de consulter le texte complet des fameux Mémoires. Je l'entends encore me dire : " Tâchez de savoir ce que dit Vallée du repassage de la Loire à Ancenis ".
Le 15 novembre 2015 nous aurons la chance de connaître les dires de Vallées. D'ici là le temps risque de nous paraître bien long...
Un dernier mot. Jean-Luc Neau a donné à sa publication le titre suivant qui nous plaît bien : Et vive le Roy quand même !
Vous pouvez - vous devez ! - dès maintenant retenir votre exemplaire auprès de Jean-Luc Neau : 1, rue de La Thibaudière - 49 250 La Ménitré - Tel : 06.03.03.34.74 - 25 € frais de port compris jusqu'au 15 novembre. 30 € frais de port compris après cette date.
Dominique Lambert de La Douasnerie
Un beau cadeau à offrir pour la fin d'année.Félicitations Monsieur pour cet ouvrage.
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